MUSIQUE :
repenser le partage de la valeur à l'heure du numérique
Fiche Acteur /
LES SOCIÉTÉS DE GESTION DES DROITS / des artistes interprètes / L'ADAMI et la SPEDIDAM
LA SPEDIDAM
Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes Interprètes
L'ADAMI
Société civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes
> Fosse / des sociétés de gestion collective
SPEDIDAM
Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes Interprètes
Créée en 1959, c’est une Société Civile gérée par un Conseil d’Administration exclusivement composé d’artistes interprètes. La SPEDIDAM est attachée à la reconnaissance du “droit de l'interprète” reconnu par la jurisprudence, qui lui permet de percevoir et répartir des rémunérations aux artistes interprètes. Elle considère qu’elle et l’ADAMI sont systématiquement mise de côté lors des négociations étatiques relatives à l’industrie musicale.
Pourtant, inclue dans les négociations de la médiations Schwartz, elle ne sera pas signataire.
ADAMI
Société civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes
Créée en 1955, l'ADAMI gère les droits voisins des artistes interprètes, qui peuvent s’ajouter aux droits des auteurs et compositeurs gérés par la Sacem. Les artistes interprètes peuvent être des musiciens, des solistes d’orchestre ou des chefs d’orchestre. Par son statut, l’ADAMI est l’une des voix des artistes dans le débat public et dans les négociations.
Pourtant, inclue dans les négociations de la médiations Schwartz, elle ne sera pas signataire.
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